26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 06:01

 

Après un détour par les liseuses électroniques, la question numérique revient demain avec un ouvrage américain qui explore les évolutions historiques et récentes de l'édition. En attendant, deux propos alimenteront la contradiction.

 

... chaque nouvelle technologie implique l'acquisition d'un nouveau système de réflexes, lequel exige de nous de plus en plus d'efforts, et cela dans un délai de plus en plus court. Il a fallu près d'un siècle aux poules pour apprendre à ne plus traverser la route. Mais nous ne disposons pas de ce temps.

...

On n'a jamais inventé de moyen plus efficace de transporter l'information, que je sache. Même l'ordinateur avec tous ses gigas doit être branché. Pas ce problème avec le livre. Je le répète. Le livre est comme la roue. Lorsque vous l'avez inventé, vous ne pouvez pas aller plus loin.

 

 

Umberto Eco - N'espérez pas vous débarrrasser des livres (Grasset)

 

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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 06:37

 

 

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A l'heure où les machines pour lire se multiplient et se modernisent très vite, alors que le nouveau modèle T2 est déjà commercialisé, que Kobo et Kindle ont meilleure cote, voici mon avis sur l'utilisation de ma vieille liseuse électronique Sony PRS-T1 durant une petite année.

 

Remarque préalable: toujours pas d'accès en ligne à un magasin francophone, ce qui ne pose pas problème. Tous mes ebooks proviennent de l'ordinateur qui centralise tout, achats et autres sources. Ma bibliothèque est stockée dans un cloud (Dropbox), si bien que je peuxen cas d'effacement accidentel, recharger les livres sans passer par l'ordinateur.

 

Première surprise : 47 % des titres lus sur la période l'ont été sur liseuse. Volume à relativiser car dans ce pourcentage, il y a la moitié de polars courts et recueils de petites nouvelles. Sur une dizaine de mois, presque deux livres par mois furent numériques1. Ce n'est donc manifestement pas un gadget et le fait de trimbaler l'appareil partout avec mes bouquins en cours l'atteste.

 

Objet incontournable, car au-delà de la lecture, je suis sensible à sa polyvalence : j'y écris des notes, j'y consulte aussi parfois internet. (Je n'ai ni iPad, tablette ni smartphone). Auparavant embarrassé de griffonner dans les livres (les miens ou de bibliothèque), de voir s'envoler sans cesse mes papillons de papier, mon T1 est devenu carnet de lecture, que je lise en numérique ou pas. Moyennant le transfert régulier des notes sur ordinateur, ce système me satisfait entièrement.

 

En février, je formulais quelques points préoccupants lors d'un premier bilan. Qu'en est-il ?

  • L'absence d'un dictionnaire français-français reste regrettable. Passer par la connexion wi-fi nécessite du temps. À la maison, l'ordinateur ou la brique viendront à point mais il faut se lever, changer de pièce, quitter le confort douillet de la lecture. Le nouveau T2 n'a pas comblé cette lacune.
  • Le chargeur séparé est selon moi une option de luxe2. Aucun problème d'autonomie, même en 15 jours de vacances (sans utiliser le wi-fi).
  • Le stylet volant (pas de logement prévu sur le boîtier) se clipse sur le dos de la couverture et il ne s'est égaré qu'au fond d'une poche ou d'un sac. 
  • L'écran légèrement grisâtre nuit au contraste des caractères par lumière voilée. Le T2 aurait un écran vraiment blanc.

Autres difficultés:

  • La gestion par auteurs, titres et collections fonctionne à condition d'être attentif aux champs de métadonnées: je gère le contenu via le très bon logiciel Calibre, car j'ai rencontré des pertes de données avec le Reader pour PC de Sony
  • Menus compliqués : certains choix répétitifs devraient pouvoir être évité via le réglage d'options. Exemple : préciser chaque fois clavier/manuscrit en ajout de notes, alors qu'on les introduit toujours au clavier.
  • Reflets désagréables sous une source lumineuse ponctuelle dus à la texture brillante du boîtier. 
  • Des bords plus larges permettraient une meilleure prise en main entre pouce et index. Heureux possesseur d'une coque (couverture), cet inconvénient est moindre.

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Reste que malgré ces points perfectibles, je suis très satisfait de cette machine. La T2, pour ce que j'en sais, est dans une continuité très proche et n'apporte pas d'innovations majeure par rapport au T1, si ce n'est un écran d'accueil plus fonctionnel et une disposition des touches du bas qui permet une meilleure préhension à une main.


Changerais-je la T1 au profit d'un modèle plus récent de livre électronique ? Très heureux de sa fiabilité, de sa solidité, de son design avec son noble étui façon cuir, habitué à son fonctionnement, je répondrais non. Même au profit d'un dalle inférieure tactile.

Toutefois, un argument de poids est celui de l'éclairage de l'écran: dans le noir ou en pénombre, cet avantage pourrait me faire craquer. C'est une innovation majeure. Et, pourquoi pas, bientôt la couleur ? 

 

1 Quatre livres par mois, lecteur tranquille mais je n'inclus pas journaux et revues imprimés.

2 Il est toujours possible d'acheter un chargeur compatible au lieu du coûteux chargeur Sony dédié à la T1.

 

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 06:46

 

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Je me propose chaque prochain jour de présenter trois façons de se nourrir spirituellement par les livres. À vous de vous y trouver, de déterminer le lecteur ou la lectrice que vous êtes. Peut-être s'y reconnaîtra-t-on dans les trois ? 

 

L'idée m'est venue en lisant un chapitre à propos du goût littéraire dans Petite philosophie du lecteur paru aux éditions Milan, un livre excellent, trop discret sur la toile, et dont le mérite dépasse, selon moi, celui d'un simple amusement philosophique. Frédérique Pernin tente d'y définir ce qu'on entend par un bon livre et débouche sur un parallèle singulier avec la façon de s'alimenter. Elle souligne que certaines conceptions en matière de nourriture spirituelle passeraient pour folles si on les appliquait à un menu alimentaire: 


Schématiquement, trois types de diététique spirituelle coexistent aujourd'hui : on nommera la première, inspirée du philosophe Anaxagore, « autophagie » ; la deuxième est caractéristique de la pensée magique; seule la troisième correspond à notre médecine moderne, on la dira rationaliste.

 

Découvrez le lecteur autophage et les autres dès demain, pendant que je m'attache à un billet sur le magnifique essai de Pierre Bergounioux sur Faulkner (L'Un et L'Autre) dont j'avais proposé un avant-goût il y a quelques semaines.

 

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 05:04

 

Par l'expression "Des hommes malades des animaux", nous voulions en effet décrire la contradiction de plus en plus aiguë chez nos contemporains entre des animaux de compagnie dont ils sont littéralement fous (c'est-à-dire qu'ils peuvent engager pour leur santé des sommes déraisonnables au regard de la santé publique) et des animaux de rente qui, du fait des conditions dans lesquelles ils vivent, les rendent malades (Digard, 1990). Cette tension entre animaux que nous protégeons et les animaux dont nous nous protégeons, entre zoolâtrie et zoonoses, qui apparaît de façon visible lorsque des crises sanitaires font percevoir les vaches comme "cannibales" et les poulets comme des "bombes à virus", résulte de l'accélération d'un processus millénaire de co-évolution entre les hommes et les microbes, dont il est probable que les microbes sortiront vainqueurs (Gualdo, 2006; Rodhain et Schwartz, 2008). L'apport de l'anthropologie sociale est aussi dans ce passage des crises sanitaires qui nous affolent à cette prise de conscience du temps long de l'évolution.

 

Frédéric Keck - Cahier d'anthropologie n°8

 

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 06:54

 

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Les beaux jours sont revenus avec leurs messagers: déjà oubliées les lectures au coin du feu et sous la couette. Vélos époussetés, livres et liseuse dans le sac à dos, le temps vient de squatter parcs et bancs alentours pour aérer les pages de nos auteurs préférés.  

 

À toutes et tous qui visitez ce blog, merci pour votre compagnie et vos commentaires toujours bienvenus. Je vous souhaite le printemps chantant, l'été éclatant et les meilleures espérances en vos livres. 

 

J'ai adopté l'image ci-dessus comme écran de veille de ma liseuse. Vous pouvez la trouver ici .   

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 15:41

 

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Mon choix

 

J'ai finalement opté pour l'achat d'une liseuse tactile Sony. L'objet reçu en prêt (ancien modèle PRS-650) m'avait mis le grappin dessus et j'ai craqué pour le beau design cossu très classe d'une T1 avec sa couverture en cuir (35€ en sus). Un choix résultant d'une attirance très instinctive en fin de compte, avec mise en sourdine de considérations techniques (attendre l'e-ink couleur), pratiques (Sony Readerstore inaccessible en Belgique/France) et économiques (le prix).

Il faut préciser que la T1 est tournée vers des environnements ouverts (formats ePub, PDF) qui ont ma faveur alors que Kobo et Kindle semblent plus liés à ce que j'appelle des magasins. Ce qui a favorisé ce choix d'homme libre.

 

Utilisation et satisfaction

 

Globalement je suis très satisfait de la machine. L'encre électronique (e-ink) est un réel confort: oubliées les fatigues oculaires des écrans rétro éclairés. Agréable à utiliser, d'un fonctionnement intuitif épatant, la liseuse est moins encombrante qu'un poche, légère mais pas trop pour avoir une bonne prise en main. Rien à reprocher aux fonctions de sur-lignage et d'annotations (y compris manuscrites) bien conçues. L'affichage offre un bon contraste même si le fond d'écran est un peu gris-bleu. La navigation internet est aisée avec accès facile à Google, Wikipédia et le téléchargement de livres en ligne se fait sans difficulté. 

Les dictionnaires intégrés raviront les polyglottes européens et les anglosaxons auxquels la machine paraît destinée et on regrette fort un Littré qui malheureusement n'apparaîtra sans doute jamais sur la T1. On peut y pallier en chargeant un dictionnaire français ePub (Hachette par exemple) mais il faut alors quitter le document pour le consulter, ce qui n'est pas rapide puisque Sony propose sur la page d'accueil, en last in first out, les trois documents récemment chargés plutôt que les derniers accédés, ce qui est regrettable. Le wi-fi permet évidemment de trouver une définition via internet, mais cela prend plus de temps et la batterie est davantage sollicitée.


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Le stylet s'avère utile pour insérer/corriger dans une note ou pour pointer précisément les mots à sur-ligner. Il n'est pas intégré au boîtier comme sur le modèle 650 (coût de fabrication ?), petit regret mais en cas de perte, n'importe quelle pointe rigide (qui ne raye pas) fera office.

Recharger la liseuse via l'ordinateur grâce à la connection USB est rapide mais le chargeur secteur souhaitable lors des vacances sans ordi est vendu séparément. Le prix total de la Sony grimpe alors à 225€, prix d'une Kyobo couleurs... Voici une liste de chargeurs compatibles avec le Sony T1.

L'affichage des documents en PDF devient lente si la police des caractères est agrandie et si le document est volumineux. Leur maniement est plus efficace qu'avec d'autres liseuses (de l'avis unanime sur les forums de lecture numérique), mais cet aspect est perfectible.

 

Je pensais au départ que le fait de ne plus avoir les pages ni le volume papier comme repére visuel serait un inconvénient (Combien de pages ai-je lu ? Est-ce un long chapitre ?) J'ai eu tôt fait de retrouver mes marques différemment en utilisant table des matières et numérotation des pages.

 

Considérations techniques et mésaventures

 

Autant la liseuse est intuitive, autant le logiciel Sony Reader pour MAC/PC ne l'est pas. Mal documenté, il est sensé gérer la bibliothèque numérique sur ordinateur en synchronisation avec le reader. Mon expérience porte sur la version PC (Windows 7) dont l'utilisation s'est révélée désastreuse, entraînant la perte de fichiers et le dédoublement exponentiel de notes. Je ne l'utilise plus que pour rapatrier sur PC mes annotations et j'ai du recourir aux informations éclairées d'un utilisateur averti du Cercle Reader Sony . N'espérez pas trop vous y faire aider par l'assistance de la firme.

Je conseille vivement d'utiliser le bon logiciel Calibre (Windows, OS X, Linux) pour gérer sa bibliothèque numérique (achats, recherches, téléchargements) et les conversions entre formats de documents. Une initiation (en anglais) est disponible sur le site.

J'ai rencontré quelques bugs liés au fonctionnement tactile. Tourner une page entraînait par intermittence l'ouverture du dictionnaire. La dernière version du microprogramme semble avoir arrangé les choses. La procédure de sa mise à jour est bien détaillée dans l'assistance du site Sony.

 

Il arrive encore qu'en réveillant ma liseuse du mode veille, elle affiche avec insistance un livre qui n'a pourtant pas été ouvert depuis longtemps. Mais bon.

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Quel usage ?

 

Fais-je bon usage de ma liseuse ? Je suis un lecteur de bibliothèque publique. Je lis beaucoup d'ouvrages empruntés à peu de frais et dont j'ai pu vérifier le niveau qualitatif ou la popularité dans le temps. J'achète de façon réfléchie, sourd aux trompettes hâtives des prix littéraires, même si mon intérêt pour les livres disponibles en ligne tend à changer mes habitudes. Reste un foule de livres anciens numérisés gratuits - (re)découvertes de classiques et surprises inattendues chez les philosophes et sociologues des XIXè et XXè siècles - et les partenariats. 

Journaux et magazines ont vite trouvé place dans ma liseuse. Le matin je la connecte à Calibre et télécharge en dix minutes les éditions programmées. Je peux ensuite me balader où je veux dans la maison ou ailleurs avec mes news disponibles au bout de l'index. 

Récemment, pressé par le temps, j'ai pu terminer une lecture dans l'autobus en prenant de surcroît quelques notes au clavier de la liseuse, ce que les secousses du véhicule m'auraient interdit avec bic et bloc.

Je voudrais ajouter que je suis devenu un fervent adepte des annotations. Né et élevé dans le respect des livres, prévenance affermie par les emprunts de bibliothèque dans lesquels on n'écrit pas, j'ai toujours bridé mon envie d'annoter. Le fait de pouvoir le faire sans dégrader un source toujours récupérable intact - sans nécessairement perdre la version gribouillée - est une luxe que je m'octroie avec jubilation.

La liseuse me permet de lire mieux qu'avant, car je proportionne les caractères selon ma presbytie et la luminosité ambiante: aspect primordial peu médiatisé, l'e-reader dispose d'atouts pour les moins bien voyants.

Enfin, j'ai l'habitude de me déplacer un peu partout avec plusieurs livres sous le bras (j'ai souvent plusieurs lectures en cours). La liseuse commence à me faciliter les choses en concentrant un maximum dans ses 170 grammes.    

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Élucubrations

 

J'ose imaginer que les éditeurs, moyennant trois euros en option, nous offrent les livres dans les deux supports. Imaginez: le bouquin sur l'étagère et la version numérique en poche partout avec soi, sans risque de perdre ou abîmer le volume relié qu'on ouvrirait de temps à autre pour humer gourmettement l'un ou l'autre passage enivrant... Je rêve.

Vous aurez compris que je ne suis ni acteur ni expert du marché du livre et mon avis peut sembler naïf. Je n'ai pas non plus une position très claire vis-à-vis du piratage. Je me dis que le numérique ne doit pas entraîner qu'un bon livre fraîchement édité devienne du tout-venant accessible en téléchargement gratuit sur internet. Je reste pourtant persuadé que les vrais bons auteurs n'écrivent pas pour vendre et que la diffusion de la culture doit prévaloir. Mais écrivains et éditeurs ainsi que tous les autres intervenants doivent vivre. 

 

Conclusion

 

Mon expérience encore récente me conduit à la conclusion qu'une liseuse numérique, la Sony en l'occurrence, est un excellent complément aux livres papier. Et j'irai même jusqu'à dire un complément indispensable dans mon cas, car le support s'est merveilleusement intégré à mes habitudes de vieux lecteur. Reste que je ne suis pas prêt à acheter des e-books vendus à 80% du prix de l'objet papier. 

 

Dans deux ans je sourirai sans doute des fonctionnalités actuelles de ma liseuse dépassée par des produits autrement évolués, à moins que je ne regrette sa durée de vie trop brève et l'obsolescence entretenue, délibérément ou non, par les fabricants. Dire que le T1 n'est pas parfait n'est-ce pas aussi déjà ouvrir la porte aux nouveaux modèles ? Et de toute façon on ne peut pas remplacer la batterie de la liseuse...


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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 16:28

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J'ai appris d'une passionnée de lecture qu'elle lisait en numérique depuis 5 ans. Si longtemps déjà ?

 

Alors voilà, je devrais disposer bientôt d'une liseuse numérique en prêt. L'adopterai-je durablement ? Pour quelles lectures ? Quel influence aura-t-elle sur ma façon de lire ? Peut-on annoter aisément ? Comment évolueront les bibliothèques publiques ?

 

Trois choses sont évidentes: lire longtemps sur un écran d'ordinateur rétro éclairé est nuisible. Les liseuses utilisent un procédé différent (encre électronique) qui ne devrait pas fatiguer les yeux. De même, emporter dix bouquins en vacances n'est guère pratique. Une liseuse en contient facilement plus de mille. Avec des textes et modes d'emploi personnels si l'on veut. Enfin lire une brique de 500 pages n'est pas commode vu son poids: une liseuse fait 150grammes et mesure moins d'un cm d'épaisseur.   

 

Le grand problème, outre la compatibilité des formats liés aux appareils et aux vendeurs numériques (Fnac et Amazon), semble résider dans les DRM (Digital Rights Management) qui empêcheraient les copies. Assez inefficaces car la plupart semblent les éviter astucieusement mais au prix de manipulations qui exigent une certaine compétence.

 

Je disposerai d'une liseuse Sony PRS-650 prêtées par la bibliothèque des Chiroux de Liège. Les modèles Kobo et Kindle semblent également attrayant vu leur prix (100 € environ).

 

Je ne me pose pas de question sur l'avenir du livre numérique, je suis d'abord curieux de voir ce qu'il peut apporter à un amoureux de l'objet livre en papier. Que pourra supplanter dans mon cœur de lecteur un bon vieux poche à l'odeur inimitable ?

 

(A suivre).

 

Quelques adresses:

 

Pensez-vous avoir des idées reçues sur les liseuses ?

Lisez ceci http://delphinesbooksandmore.fr/liseuse-ebooks-idees-recues

 

A ceux que la technique et les nouveautés ebooks passionnent, je conseille le site http://aldus2006.typepad.fr/mon_weblog/

 

Enfin il existe aussi un club de lecteurs numériques:

http://clubdeslecteursnumeriques.wordpress.com/a-propos/

 


 

 

 

 

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 15:37

AGARD André

AKHMATOVA Anna

APÉCIENS Les

ATWOOD MARGARET

AUSTER Paul

AUZOULT Laurent

BABA Luc 1 2 3

BACHMAN Ingeborg

BALZAC de Honoré

BANVILLE John 1 2 3 4

BECK Christian

BÉGAUDEAU François

BELLOW Saul

BENECH Sophie

BERGOUNIOUX Pierre 1 2

BLANCHOT Maurice

BON François

BOTT François

BRAMI Émile

BRICMAN Charles

BURGIN Richard

CABIRO Olivier

CAPOTE Truman

CARRIÈRE Jean-Claude

CARÊME Maurice

CASSOU-NOGUÈS Pierre

CECCHI Lorenzo

CHALANDON Sorj

CHÂTEAUREYNAUD Georges-Olivier

CHEVILLARD Éric 1 2 3

CIORAN

CIPOLLA Carlo M.

CLAUS Hugo

COE Jonathan

COETZEE J.M. 

DARNTON Robert

DADELSEN de Jean-Paul

DANTZIG Charles 1 2

DEFFAND Marquise du 1

DELHOMME Emmanuel

DELPERDANGE Patrick

DILLARD Annie  

ECHENOZ Jean 1 2

ECO Umberto

EMMANUEL François

ENTHOVEN Raphaël 1 2

FERRARI Jérôme

FORD Richard 1 2

FOREST Philippe

FORTON Jean 1 2

GEYER J.R.

GOFFETTE Guy 1 2

HADDAD Hubert

HAUMONT Gilles

HÉBERT Anne

HEMINGWAY Ernest

HUSSENOT Victor

HUSTON Nancy

INDRIDASON Arnaldur

IZOARD Jacques

JONCOUR Serge

JÜNGER Ernst

KRAUS Karl 1 2

LENOIR Hélène

MABANCKOU Alain

MACÉ- SCARRON Joseph 1 2 3

MAGNY Claude-Edmonde

MAKINE Andreï

MANCHETTE Jean-Patrick

MATZNEFF Gabriel

MAURY Paul

MERCIER Jacques

MICHON Pierre 1

MORRISON Toni

MO-YAN

MUKASONGA Scholastique

MUNRO Alice

NAHAPÉTIAN Naïri

NDIAYE Marie

PAILLARD Christophe-Alexandre

PAULS Alan 1 2

PERNIN Frédérique

PIREYRE Emmanuelle 

PROUST MArcel

RAHIMI Atiq

RAMBAUD Patrick

RAMUZ C.F. 1 2

RÉVAH Anne 

REZA Yasmina

RODENBACH Georges

ROEGIERS Patrick

ROLAND Nicole

ROSSET Clément 1 2 3 

ROUAUD Jean

SAND Georges 

SAVITZKAYA Eugène

SCHIFFTER Frédéric 1 2 3

SIMENON Georges 1 2 3

STEINER George

TAVARES G.M.

THOMASS Balthasar 1 2

TOUSSAINT Philippe

URIEN Emmanuelle

VALERA Juan

VANN David

VIEL Tanguy 1 2

WEIL Simone

WOOLF Virginia

YALOM Irvin

YOURCENAR Marguerite

ZWEIG Stefan 1 2

 

 

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