Je voulais d'abord présenter cette image (dont je connais à peine l'origine) sans bulle, en espérant que quelqu'un me précise de quoi il s'agit, je n'ai pas connu la première moitié du vingtième siècle. Mais que pouvaient donc se dire ou penser ces deux...
Ah ! Les transferts nord-sud... Inépuisable sujet de controverses. On n'est pas d'accord, bien sûr, sur leur ampleur. Trois milliards par an ? Cinq ? Huit ? Moins ? Plus ? Selon certains, ils équivalent à une berline de luxe offerte tous les ans à la...
Dans les derniers mois, ce blog n'a pas choisi l'optimisme, le facile, le serein. Depuis le réel trop abrupt qu'on fuit dans l'illusion jusqu'aux philosophes tristes, en passant par les difficultés communautaires de la Belgique ou les amours défuntes...
Matej Krén [1] Ce dimanche-là de décembre, Libération affichait L'écrit dure à la une dans la boutique de presse d'une grande surface française. Ne pourrait-on en faire un billet de début d'année ? L'article commente la fermeture des librairies Chapitre...
— [...]. Tu m'as menti, Wang-Fô, vieil imposteur : le monde n'est qu'un amas de taches confuses, jetées sur le vide par un peintre insensé, sans cesse effacées par nos larmes. Le royaume de Han n'est pas le plus beau des royaumes et je ne suis pas l'Empereur....
Faites l'expérience : fermez les yeux, bouchez les oreilles, une pince sur le nez . Si vous faites abstraction du toucher et ne goûtez rien, il n'y a plus aucune sensation. Continue-t-on à vivre comme cela ? Comment ? Que reste-t-il ? Perte progressive...
Faut-il partir ? Rester ? Si tu peux rester, reste ; Pars, s’il le faut. (Charles Baudelaire, Les fleurs du Mal). Rarement faux témoignages auront tant les accents du vécu. Ils sont dédiés à Jules Boulard, allumeur de réverbères. Une image reprise dans...
L'été s'acheva sans aucun autre miracle. Oublieuse enfance ! Les derniers jours de mon séjour, je n'y songeais même plus. Je pêchais mes gobies, je tirais de mon harmonica des sons de plus en plus éraillés, je bâtissais mes châteaux de sable sans m'attendre...
Portrait de Baudelaire - Courbet Ce qui est étonnant dans le portrait, c'est qu'il nous donne à connaître l'homme, tel homme, dans la contingence dont je parlais, mais si c'est un grand portrait il nous donne à voir une sorte de contingence généralisée...
J'ai souri récemment devant un dessin qui blâmait les tablettes avec cette légende : La tablette est mauvaise pour les yeux. Vous commencez par lire et finissez par y regarder un film. Pour apporter une autre eau au moulin de ses détracteurs, un article...
Le Classique n'existe, ne parle et ne règne que s'il y a du Barbare - que s'il est le Barbare déguisé : Garouste, le peintre, dit que le grand art consiste en ce que le premier doit habiller le second; mais les deux doivent coexister. La pellicule d'or...
Frères humains qui après nous vivez, N'ayez les cuers contre nous endurcis, Car, se pitié de nous povres avez, Dieu en aura plus tost de vous mercis. François Villon Ballade des pendus De sang-froid - Truman Capote ( Épigraphe) Illustration : © Tingg...
Lorsque quelqu'un me tient à l'écart, ma consolation, c'est qu'il s'y tient aussi. (Chamfort) Citation extraite de Éloge du contraire de François Bott (éditions du Rocher)
Être ou ne pas être ? Cioran : Ni l'un ni l'autre. C ioran : Ni l'un ni l'autre. Être ou ne pas être ? Cioran : Ni l'un ni l'autre.Être ou ne pas être ? Cioran : Ni l'un ni l'autre.ÊÊ Être ou ne pas être ? Cioran : Ni l'un ni l'autre. Citation extraite...
Cette photo ... ... a été prise durant les dernières décennies. ... n'a pas été prise durant les dernières décennies. (*) (*) Biffer la mention inutile. Source de la photo : couverture du livre La vida cuando era nuestra de l'auteure espagnol Marian Izaguirre...
Les Anglais et les Américains ont beaucoup de choses en commun, sauf la langue. (Oscar Wilde) Citation extraite de Éloge du contraire de François Bott (éditions du Rocher)
La seule excuse de Dieu, c'est de ne pas exister. (Stendhal) Citation extraite de Éloge du contraire de François Bott (éditions du Rocher).
C'est un des bénéfices du voyage, ces quarante-huit heures avant et ces huit jours après, qu'on gagne en ne prévenant personne qu'on n'est pas parti, ou rentré. Paul Morand - Lewis et Irène
Source : lesen.net
la chatte grise et si farouche est triste et seule au long des jours dans le faubourg où tu passais de rue en rue en ce passé dont elle recherche la clé de rue en rue elle est perdue et nous observe comme si nous devions te ressusciter Jean-Claude-Pirotte...
« Et je dis encore à ma femme, mets-moi quelque chose à lire...»
Il semble que durant les dernières heures, il était impossible de laisser un commentaire sur ce blog. Ce problème semble résolu mais reste inexplicable après l'examen des paramètres auxquels j'ai accès. Toutes mes excuses pour ce désagrément.
Je te rappelle plus tard, ok ? Je dîne avec mon éditeur... © John Deering - Creators.com NB : Afin de rester dans l'esprit du blog, j 'ai choisi délibérément la traduction de editor par éditeur (au lieu de rédacteur (en chef)).
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On voyage pour découvrir autre chose et c'est toujours soi que l'on retrouve. Bonne raison pour continuer à chercher. Charles Dantzig - Il n'y a pas d'Indochine